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Les angoisses (justifiées) de François Hollande

Il ne manque pas d’air, Hollande… Le voilà qui se plaint d’être l’objet d’attaques !

Pauvre choupinet !

Comment peut-il s’étonner d’un retour de bâton ? Les attaques dont il fait l’objet sont sans communes mesures avec celles que Nicolas Sarkozy a subi depuis près de 6 ans (car cela avait commencer avant la dernière campagne présidentielle).

N’était-ce pas pendant la campagne de 2002 que les jeunes socialistes (comment peut-on être jeunes et partager des idées conservatrices d’un autre âge !) n’ont rien trouver de mieux que de placarder des affiches assimilant Sarkozy à Hitler ?
Que dire des nombreuses, et insistantes, campagnes de désinformation ?
Et toutes les rumeurs, plus infondées les unes que les autres, sournoisement distillées au fil des mois ?

Quand on n’a pas de vraies idées, quand le projet frise la catastrophe annoncée, quand on s’accroche à ses privilèges et prébendes, quand on n’a pas pris la vraie mesure de l’évolution de notre société, quand on défend bec et ongles un conservatisme rassurant… comment contrer son adversaire ?
Le seule angle d’attaque qu’ont trouvés Hollande, ses prédécesseurs et leurs sbires, est l’insulte, la bassesse, l’ignominie !
Et maintenant, qu’ils sentent tourner le vent, que la défaite ne leur paraît, non plus seulement possible, mais quasi inéluctable, leur nervosité les poussent dans leurs derniers retranchements. Mais que Hollande se rassure et qu’il arrête de pleurnicher, bientôt il pourra se consoler dans sa toute nouvelle retraite.

«Je me battrai jusqu’à dimanche soir pour que le résultat soit le meilleur possible» affirme-t-il. On se rassure comme on peut !

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